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Mordus-Immobilier-V01N03

PORTRAIT D’UN MORDU MORDUS D’IMMOBILIER 66 PORTRAIT D’UNMORDU S ans connaître personne dans le domaine, Daniel Lalonde a eu la piqûre pour l’immobilier à l’adolescence. Certains aiment le chocolat, sans savoir pourquoi, lui, c’était l’immobilier. Avant de se lancer dans sa carrière de rêve, Daniel gagnait plus de 100 000 $ après dix ans de métier à titre de frigoriste. Malgré son salaire motivant, son travail en réfrigération ne le satisfaisait pas, car il désirait avant tout vivre d’une passion. D’UNE PASSION À UN MÉTIER La lecture du livre Rich Dad Poor Dad a été l’élément déclencheur vers sa transition professionnelle. Daniel Lalonde a découvert peu après le Club des investisseurs immobiliers du Québec et a obtenu son diplôme en 2012. Le jeune homme d’affaires était à ce moment-là déjà propriétaire de deux immeubles, une maison et un triplex, mais il s’est assuré de diminuer au maximum ses dépenses personnelles et de concevoir un plan d’affaires solide avant de faire le saut à temps plein en immobilier en 2014. Cette année-là, Daniel Lalonde s’est associé à Bruno Castongay, un ami d’enfance, pour fonder le Groupe BCDL, spécialisé en construction, rénovation, investissement d’immeubles locatifs et flips immobiliers. Moins d’un an après, les deux acolytes gèrent déjà plus d’une vingtaine de portes. Bruno s’occupe de la division construction tandis que Daniel se charge du volet solutions immobilières. Ils ont pour vision commune de toujours offrir un service de haute qualité et efficace. En jumelant construction, flips immobiliers et revenus locatifs, Daniel Lalonde explique avoir un projet viable à court terme et lucratif à long terme. En exemple, il nous raconte l’un de ses bons coups. Dernièrement, son associé et lui ont acheté un multiplex pour 305 000 $, initialement en vente à 420 000 $, et l’ont rénové en investissant 67  000  $ pour des améliorations structurelles et esthétiques. Quelques mois plus tard, la valeur de l’édifice a augmenté de 105 000 $ et les deux partenaires ont pu le refinancer, récupérant ainsi les montants des rénovations et leur mise de fonds pour s’en servir afin d’agrandir leur parc immobilier. ASTUCE En plus de s’entourer de bons collaborateurs, Daniel Lalonde suggère de se bâtir un « groupe d’entraide » d’environ cinq à sept investisseurs. « La synergie devient très puissante au fil du temps. On est des investisseurs immobiliers provenant de différents coins du Québec.  On partage nos points de vue divergents et des solutions selon les problématiques de chacun.  » Ces passionnés se rencontrent toutes les semaines par vidéoconférences et quelques fois par année en personne. «  Nos échanges nous donnent de l’énergie, nous motivent aussi à nous dépasser  », renchérit-il. Découvrez l’entreprise de Daniel Lalonde, investisseur immobilier, sur : www.groupebcdl.ca DANIELLALONDE INVESTISSEUR IMMOBILIER PORTRAIT D’UNMORDU 100000 $ après dix ans de métier à titre de frigoriste. pour 305000 $, initialement en vente à 420000 $, et l’ont valeur de l’édifice a augmenté de 105000 $ et les deux

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