(centre for transdisciplinary and sustainability sciences) indonésie en vue d’examiner le rôle de l'aide internationale et du commerce dans le processus de réforme du secteur forestier dans ces trois régions du monde et les perspectives de durabilité de l’exploitation forestière. cet atelier a examiné les engagements récents liés aux forêts et à l'utilisation durable des terres pris lors de la cop 26 et leurs incidences pour le brésil, l’indonésie, la rdc et le royaume-uni en se basant sur les questions suivantes : le rôle du commerce international et de la coopération dans la sauvegarde de la forêt, la promotion de l'utilisation durable des terres, la promotion des économies rurales durables et des moyens de subsistance résilients. « lors de la cop26, une centaine des pays dont le brésil, l’indonésie, le royaume-uni et la république démocratique du congo ont promis de stopper la déforestation, de restaurer les forêts et de mettre fin à la dégradation des terres d’ici 2030 avec un investissement de 19 milliards de dollars comprenant des fonds publics et privés en faveur des peuples indigènes et de l’agriculture durable en vue de la protection des forêts. en effet, les forêts absorbent environ 30% des émissions de dioxyde de carbone, contribuant à empêcher le réchauffement climatique et le brésil, l'indonésie et la république démocratique du congo (rdc) comptent à eux trois 85% des forêts mondiales » https://www.lindependant.fr › actu › environnement mais cette protection naturelle contre le réchauffement climatique disparaît à une vitesse accrue suite à l’exploitation industrielle légale et illégale, l’exploitation minière et l’agriculture. selon un rapport de la global forest watch (gfw) publié en mars 2021, le niveau de la destruction des forêts primaires dans le bassin du congo et dans le monde a augmenté de 12% par rapport à 2019, et en république démocratique du congo, cette situation est aggravée par la croissance démographique, la pauvreté de la population, le manque d’accès à l’énergie : la population pauvre et en croissance n'a pas d'autres moyens de subsistance en dehors de la forêt et dépend essentiellement du bois de chauffage pour cuisiner, à cela s’ajoute l'absence de politiques de planification de l'utilisation des sols. - 21 -